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Lectrue chrétienne

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« Souricière »

Un jour, la souris a remarqué que le fermier avait installé un piège à souris. Elle en parla au poulet, au mouton et à la vache. Mais ils lui ont tous répondu : « Ce piège à souris, c’est ton problème, ça n’a rien à voir avec nous! En quoi est-ce que cela nous concerne ?»

Après un certain temps, un serpent venimeux s’est pris dans la souricière et il a mordu la femme du fermier. Pour tenter de la guérir, on a préparé pour cette femme une soupe au poulet. Le poulet a donc été abattu. Mais la femme ne s’est pas rétablie et de nombreuses connaissances sont venues lui rendre visite. Donc, on a dû abattre le mouton pour nourrir des hôtes. Mais finalement la femme du fermier est décédée, et donc, la vache a été abattue afin de nourrir les invités aux funérailles.

Pendant ce temps, la souris, regardait calmement tout ce qui se passait.

Si les animaux de la ferme avaient répondu à la demande de la souris et détruit la souricière, ils seraient restés en vie.

Ne pensez pas que les problèmes des autres n’ont rien à voir avec vous-même. Soyez compatissant donnez de l’aide aux gens.

 

« Coronavirus »

Satan vint à Dieu et dit :

– As-tu vu comment j’ai effrayé tout le monde avec le coronavirus ?

– Je l’ai vu, – répondit Dieu.

– Sais-tu que beaucoup d’entre eux s’étaient enfermés chez eux, et lorsqu’ils quittaient la maison, ils fuyaient leur voisin comme la peste, pour ne pas être infectés.

– Je sais, – répondit Dieu.

– Et des milliers de personnes ont cessé de fréquenter Tes églises.

– Je le sais aussi, – répondit Dieu.

– C’est moi qui les ai vaincus. C’est ma fête. Je suis le maître du monde, – dit Satan.

– Tu es pressé, comme toujours, – objecta calmement Dieu. Plusieurs milliers de personnes, grâce à cette maladie, pour la première fois depuis de nombreuses années, ont cessé de s’agiter et ont vu le non-sens de leur vie. Ils se sont demandé : pourquoi suis-je en train de vivre ? Quelques milliers d’autres, par hasard, par ennui, ont découvert l’Évangile pour la première fois, et je leur ai parlé directement, à travers le texte évangélique. Et plusieurs dizaines de milliers d’autres, craignant pour la vie de leurs proches, ont pour la première fois commencé à prier pour Me demander de l’aide.

– Il s’avère que tu as encore retourné la situation à ton avantage !

Le Seigneur était silencieux.

– Mais pourquoi te soucie-tu autant des gens, pourquoi les protèges-tu ainsi ? Après tout, ils sont prêts à te trahir à chaque instant !

– Parce que je les aime ! – Dit le Seigneur.

Et Satan poussa un cri terrible et tomba dans l’abîme.

 

« Le vrai bonheur »

On a demandé à un milliardaire nigérian : « Monsieur, quel est pour vous le plus grand bonheur de votre vie ?

Il a répondu :

« J’ai traversé les quatre étapes du bonheur dans la vie et j’ai finalement compris ce qu’est le vrai bonheur. 

La première étape a été l’accumulation de richesses et de moyens. Mais à ce stade, je n’ai pas obtenu le bonheur que je voulais.

Puis vint la deuxième étape, celle de la collecte des valeurs et des objets. Mais j’ai réalisé que l’effet de ceci était également temporaire et que l’éclat des choses de valeur ne dure pas longtemps.

Puis vint la troisième étape du grand bonheur. 95% de l’approvisionnement en carburant du Nigeria dépendait de moi. 

J’étais aussi le plus grand armateur d’Afrique et d’Asie. Mais même grâce à cela, je n’ai pas trouvé le bonheur dont je rêvais.

A la quatrième étape, mon ami m’a demandé d’acheter des fauteuils roulants pour les enfants handicapés de l’orphelinat. 

Il y avait environ 200 enfants.

Je l’ai fait.

Puis, mon ami a insisté pour que j’aille moi-même donner ces fauteuils aux enfants. 

J’ai accepté.

Et là, j’ai vu une étrange lueur de bonheur sur les visages de ces enfants. Je les ai tous vus assis dans ces fauteuils roulants, se déplaçant et s’amusant. J’ai ressenti une VRAIE joie en moi. Quand j’ai voulu partir, l’un des enfants m’a attrapé par les jambes. J’ai essayé de me libérer doucement, mais l’enfant a regardé mon visage et a tenu mes jambes fermement.

Je me suis alors penché vers lui et je lui ai demandé : « As-tu besoin d’autre chose ? »

La réponse que m’a donnée cet enfant m’a complètement bouleversé et a changé mon attitude face à la vie.

Cet enfant m’a dit :« Je veux me souvenir de ton visage, pour que, lorsque je te rencontrerai au Paradis, je puisse te reconnaître et te dire encore merci. »

Par quelles actions se souviendra-t-on de vous après votre départ, peu importe l’endroit, du lieu de travail, du temple ou de la vie ?

Est-ce que quelqu’un aimerait revoir votre visage là-haut au Paradis ? C’est ce qui compte.

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