0. Toutes les catégories,  04. Bulletin paroissial

« Dès le matin, nous irons aux vignobles » Le Cantique des Cantiques 7, 13

Перейти на русскую страницу

 

Télécharger en PDF Dès le matin, nous irons aux vignobles

 

« Dès le matin, nous irons aux vignobles »

Le Cantique des Cantiques 7, 13

 

Nos premières vendanges au saint monastère de Solan

 

Nicolas Van Cranenbroeck

En quittant définitivement la Belgique pour nous rapprocher du saint monastère de Solan [1], nous sommes arrivés dans la région méditerranéenne, avec son climat, ses paysages, sa flore et sa faune.

C’est désormais chaque jour que nous voyons, de près ou de loin, les espèces végétales qui font partie intégrante de la Bible et qui nous rappellent nombre de passages et d’épisodes de celle-ci : les figuiers, les oliviers et les vignes, pour ne citer que celles-là.

Anne, mon épouse, et moi rêvions depuis longtemps de pouvoir participer à des vendanges.

Le domaine de Solan, comportant plusieurs hectares de vignobles gérés exclusivement en agroécologie et cela très rapidement après l’arrivée de sœurs en 1992, était l’endroit béni par Dieu pour nos premières vendanges.

Nous avons donc répondu positivement et joyeusement à l’appel lancé, comme chaque année, par les sœurs aux bénévoles pour participer avec elles aux vendanges de 2019.

 

Les nombreuses péricopes de la Bible résonnaient en nous, dont celle placée en exergue de cet article mais aussi celles-ci : La vigne du Seigneur Sabaoth, c’est la maison d’Israël. (Prophète Isaïe 5, 7) et Ce jour-là : la vigne délicieuse, chantez-la ! Moi, Yahvé, j’en suis le gardien ; à tout instant, je l’arrose de peur que ne tombe son feuillage ; nuit et jour, je la garde !(Prophète Isaïe 27, 2-3).

Au lever du soleil

Les analyses effectuées par les sœurs et par les experts vinicoles afin de déterminer la date du début des vendages ont fixé celle-ci au jeudi 5 septembre 2019.

Le rendez-vous des vendangeurs était fixé chaque jour à l’entrée du monastère à 7 heures. Nous quittions donc Saint-Maximin vers 6 heures 15 dans la nuit et assistions au lever du soleil en arrivant sur place.

Les vendanges dans les vignobles proches de Saint-Maximin ou dans les villages traversés pour arriver à Solan se faisaient dans la nuit (pour éviter de récolter un raisin trop chaud qu’il fallait ensuite refroidir pour en faire le moult) avec de gigantesques machines. Dès 2-3 heures du matin, nous entendions distinctement de chez nous le grondement de ces machines à vendanger.

En nous portant volontaires à Solan, nous savions que toute la récolte serait effectuée à la main, avec la peine que cela représente.

Le premier jour, nous avons rejoint le vignoble choisi pour la récolte et nous nous sommes réunis, à pied d’œuvre, au soleil levant. Le paysage était admirable dans la fraîcheur de la nuit finissante et couvert, de-ci de-là, de lambeaux de brume.

Les sœurs ont entonné un chant à saint Vincent, patron des vignerons, et nous lui avons confié, dans la prière, notre labeur tout autant que la récolte et la future vinification.

Les sœurs sont remarquablement organisées, se basant aussi sur l’expérience des précédentes vendanges, et nous n’avons eu qu’à suivre leurs instructions et, parfois, à leur faire l’une ou l’autre suggestion qu’elles écoutaient toujours avec grande attention.

La vigne au temps
des changements climatiques

L’été 2019 a été marqué dans le Gard (mais aussi ailleurs) par plusieurs canicules exceptionnelles [2]. Celles-ci, liées aux changements climatiques, se répètent depuis plusieurs années et génèrent ce qu’on appelle un stress hydrique pour les vignes. Celles-ci s’affaiblissent et deviennent plus fragiles tout en donnant des récoltes moindres avec des grains de plus en plus chargés en sucre (d’où des vins dont la teneur en alcool ne cesse d’augmenter). La contrepartie positive de ces canicules est cependant l’absence quasi-totale du mildiou (nom générique d’une série de maladies cryptogamiques se propageant à la faveur de l’humidité atmosphérique) et donc de l’obligation de traiter les vignes.

Conscientes de ce stress hydrique, les sœurs nous ont demandé de veiller particulièrement à ne pas couper les feuilles en même temps que les grappes. En effet, chaque feuille est précieuse pour la vigne qui doit faire face à la sécheresse. Comment ne pas être touché par cette attention inspirée non seulement par le souci d’obtenir une bonne récolte mais aussi et surtout pour la Sauvegarde de la Création ? J’étais très ému en entendant ces conseils, que j’ai essayé de respecter au mieux, en pensant aussi, au même moment, aux gigantesques machines à vendanger qui aspiraient les grains de raisin en même temps que des feuilles et des branches…

En face à face et en côte à côte

La vendange commençait par la constitution de duos : l’un ou l’une se plaçait au début d’une rangée et l’autre se plaçait face à elle ou à lui, le duo avançant dans la rangée à son rythme. Le plus souvent, nous étions accroupis ou à genoux, trainant le bac en plastique en même temps que notre déplacement de vigne en vigne. Les sécateurs spéciaux, très coupants (cela nous était rappelé régulièrement par les sœurs), étaient nettoyés et désinfectés à la fin de chaque demi-journée de vendange.

Le nombre de parcelles et surtout le nombre de rangées permettait la création régulière de nouveaux duos. Certains faisaient silence, d’autres se parlaient en avançant, beaucoup devaient prier car cela se sentait.

Le Père Théotokis, moine, répondait aux questions spirituelles d’une étudiante. Les sœurs faisaient de même dans le respect des uns et des autres tout en partageant leur joie profonde en Christ.

Lorsqu’une rangée était terminée, le duo recommençait une nouvelle en remontant en sens contraire. Et en fin de parcelle, les duos se retrouvaient à plusieurs pour terminer la récolte.

Les bacs remplis (pas trop afin que l’empilement de ceux-ci n’abîme pas les précieux raisins) étaient rassemblés par des bénévoles qui les amenaient au bout des rangées : là passait le tracteur du monastère et les bacs étaient chargés sur la remorque, direction les caves du monastère où les réceptionnait le caviste.

Durant ces journées de vendange, j’ai souvent fait silence, laissant monter en moi la prière de reconnaissance à Dieu pour Sa Création et ses bienfaits mais aussi la prière de supplication pour toutes les personnes que je prends dans ma pauvre prière.

D’heure en heure, le soleil faisait monter la chaleur : on déposait les vestes et on se couvrait d’un chapeau. Cette chaleur faisait sortir de leurs cachettes de magnifiques mantes religieuses qui s’envolaient vers d’autres rangées.

À chaque avancée dans le rang, c’était la surprise : le nombre faible ou élevé de grappes par pied de vigne, l’abondance ou non des feuilles, les grappes enchevêtrées les unes dans les autres ou encore accrochées aux fils métalliques dressés entre les piquets ; dans ce cas, il fallait se tortillonner pour extraire les grappes tout en essayant de ne pas endommager les grains.

 

Courbés et penchés sur le sol caillouteux et sec, plein de crevasses dues à la sécheresse, et récoltant le raisin qui sera transformé en vin, « fruit de la terre et du travail des hommes », comment ne pas penser à notre condition humaine autant qu’à notre condition divine ?

Le premier psaume chanté aux vêpres est le psaume 103, louange à Dieu et à Sa Création :

De ses chambres hautes, il abreuve les montagnes.
La terre est rassasiée du fruit de tes œuvres.

Tu fais pousser l’herbe pour le bétail,
et les plantes pour le service de l’homme,

Pour qu’il tire le pain de la terre,
et le vin qui réjouit le cœur de l’homme,

Pour que l’huile fasse resplendir son visage,
et que le pain fortifie le cœur de l’homme.

Psaume 103, 13-15.

Les premiers jours de vendange ont été consacrés en priorité à deux cépages de raisins blancs, le vermentino et la clairette. La clairette était traditionnellement utilisée par les viticulteurs de notre région pour réaliser des « raisins secs » qui étaient consommés à la Noël, comme l’un des traditionnels desserts de fête. Ces deux cépages sont utilisés par les sœurs pour réaliser le précieux et rare « vin de paille » ou « vin passerillé » (c’est la Cuvée Saint Jean Bouche d’Or dénommée ainsi en hommage à saint Jean Chrysostome).

Lorsque les sœurs sont passées à la récolte des cépages des vins blancs et rouges, une bonne surprise les attendait et plus encore une occasion d’action de grâces : il y avait, ici et là, plus de raisins que les estimations de leurs experts vinicoles n’en avaient fait espérer. On peut supposer qu’il s’agit d’un petit miracle (les sœurs rappellent d’ailleurs qu’un miracle est « un encouragement donné par la Providence aux hommes et aux femmes de foi et de bonne volonté »).

Le déjeuner, pour reprendre des forces

Vers midi, avant que le soleil ne soit au zénith, après avoir rangé nos sécateurs, nous reprenions le chemin du monastère pour aller déjeuner.

Pour Anne et pour moi, c’est toujours une grande joie que d’être invités aux repas des sœurs dans leur « trapeza » (réfectoire monastique). Là, tout me rappelle mon pèlerinage au Jardin de la Mère de Dieu (Athos) en janvier 2016  [3] et ce, y compris la vaisselle en inox qui a le grand mérite de ne pas casser ou s’ébrécher. Après la prière du début du déjeuner, chacun s’assied sur un banc (lequel est rangé en dehors des repas en dessous de la table afin de prendre moins de place) et est invité à déposer (ou non) sur une assiette vide ce qu’il ne souhaite pas manger pour des raisons personnelles. Cela permet d’éviter les classiques gaspillages de nourriture car, au monastère, toute « nourriture est sacrée » : les sœurs, aidées des bénévoles, connaissent non seulement leurs efforts pour la produire mais aussi le cadeau que Dieu nous fait. À chaque déjeuner, des bouteilles de vin, à demi remplies, étaient déposées sur les tables : c’est le « cadeau » traditionnel offert aux vendangeurs en accompagnement du repas. Au moment de boire le vin et en écoutant, en silence, la lecture faite par une sœur, on prend conscience de ce que représente vraiment le vin, celui qui sera aussi offert comme don pour devenir le précieux sang de Notre Seigneur Jésus-Christ. Notre Sauveur et Médecin sait combien le vin, autant que le pain, sont importants pour les hommes. Un premier tintement de clochette donne le signal pour manger mais on s’abstient de boire de l’eau ou du vin (lorsqu’il y en a), réflexe habituel en famille ou en société. Ce n’est qu’au second tintement de clochette que l’on peut boire. Cette séquence dans le repas balisée par la clochette rappelle combien nous devons maîtriser nos « instincts » alimentaires.

Après le déjeuner, les vendangeurs étaient invités à prendre le café ou le thé sur les bancs situés à l’ombre des chênes puis à faire la sieste en bénéficiant d’une brise agréable. Des conversations à voix basse s’échangeaient en même temps que les soupirs des dormeurs fatigués.

 

Photo © Université populaire tricastine (France)
(http://uptricastine.ek.la/visite-du-monastere-de-solan-a127531678)

Une après-midi laborieuse

La sieste terminée, les bénévoles rejoignaient les différents postes de travail proposés par les sœurs (le travail ne manque en effet jamais au monastère). Certains jours, on retournait dans les vignes pour terminer la récolte de la journée mais le plus souvent c’était un travail dans le jardin (au soleil) ou dans les ateliers (à l’ombre et au frais).

J’ai passé des heures à récolter les tomates mûries au soleil dans un potager digne du paradis terrestre : il y avait autant de légumes que de fleurs ! Quant aux insectes, ils étaient à leur affaire, ne sachant où butiner.

Durant plusieurs après-midis, nous avons travaillé debout, dans un atelier, devant des claies (une claie est un cadre en bois sur lequel on a fixé un treillis ; les claies sont conçues pour s’emboiter les unes au-dessus des autres, sans écraser le contenu déposé sur le treillis). Nous avions à notre disposition un sécateur à lames très pointues et des bacs en plastique dont le fond avait été délicatement rempli avec du vermentino ou de la clairette, les deux cépages récoltés le matin. Le travail consistait à prendre dans les bacs en plastique chaque petite grappe en main et d’examiner chaque grain pour y déceler une éventuelle blessure occasionnée lors de la récolte. Seules les grappes en parfait état, les grains à problèmes étant coupés et destinés au compost, étaient déposées délicatement sur les claies en veillant à ce qu’elles ne soient pas placées les unes sur les autres, le but étant de permettre un séchage parfait.

Les claies remplies des raisins destinés
au précieux et rare « vin de paille » ou « vin passerillé ».
Photo © Université populaire tricastine (France)
(http://uptricastine.ek.la/visite-du-monastere-de-solan-a127531678).

Durant ce travail minutieux et monotone, on pouvait prier la prière de Jésus. Les sœurs nous faisaient aussi écouter les conférences de Géronda Placide (Deseille), le fondateur du saint monastère de Solan (mémoire éternelle), sur Isaac le Syrien (voir, à ce sujet, mon article dans ce numéro de Nadejda/Espérance intitulé « Des paroles inutiles »). Comme j’étais l’un des plus grands de l’assemblée, j’étais le volontaire tout désigné pour porter les dernières claies situées en haut des piles. À chaque dépôt d’une claie, nous ne pouvions que nous exclamer, comme notre saint Père Jean Chrysostome, « Gloire à Dieu pour tout ! ». L’atelier de conservation des claies recouvertes des petites grappes de vermentino et de clairette, bien ventilé, a permis un séchage parfait jusqu’au 9 janvier 2020, jour où a eu lieu le pressage. Le moult obtenu a une teneur élevée en sucres naturels et donne lieu, après vinification, à ce vin d’exception qu’est la Cuvée Saint Jean Bouche d’Or (conservée en fût une année ou trois années) : robe jaune dorée à ambrée en fonction de la durée de l’élevage ; nez aux arômes de fruits confits, de noisettes et d’abricots secs évoluant vers des arômes madérisés pour la cuvée élevée 3 ans en fût de chêne.

Les autres travaux de l’après-midi étaient nombreux et variés : cassage des amandes, plantation des légumes d’hiver, nettoyage des tomates, séchage de la verveine (pour la tisane)… sans oublier toutes les tâches préparatoires à la consécration de l’église du monastère prévue le dimanche 13 octobre 2019 (préparation de l’église, peinture des boiseries extérieures, nettoyage des ateliers, réalisation des aires de rassemblement, confection du « savanon », le tablier en tissu dont l’évêque se revêt au moment où il procède à la consécration de l’autel par l’onction avec le saint chrême, et des antimensions…).

L’après-midi de travail était interrompue par le goûter pris à l’ombre. Les sœurs et les bénévoles partageaient l’eau fraîche, la tisane, le sirop confectionné par les sœurs, des pâtisseries maison et de délicieuses figues fraîches. Les paroles échangées allaient toujours dans le sens d’une édification et n’étaient jamais des « paroles inutiles ». Nous avons ainsi reçu plusieurs confidences de bénévoles qui nous ont montré combien Dieu était bon et ami des hommes, même dans des circonstances dramatiques et a priori sans aucun espoir humain. Nous avons aussi pu partager tous les cadeaux que Dieu nous a faits en nous menant à Solan. Voici que je me tiens à la porte et je frappe : si quelqu’un entend ma voix et ouvre la porte, j’entrerai chez lui pour souper, moi près de lui et lui près de moi. (L’Apocalypse 3, 20).

Le travail de la journée se terminait avant les vêpres auxquelles nous étions conviés à participer.

Retrouvailles avec Vassilis

C’est le mercredi 15 août 2018, en la fête de la Dormition de la Très Sainte Mère de Dieu, qu’Anne et moi avons rencontré, sur la route menant à Solan, le « vagabond devant l’Éternel », Vassilis, le Chypriote orthodoxe se rendant à pied pour les vendanges en Bourgogne [4]. En ayant fait connaissance en ce jour inoubliable, nous nous étions promis mutuellement, si Dieu le voulait, de nous retrouver lors des prochaines vendanges à Solan.

Ayant gardé le contact ensemble, nous avons invité Vassilis à venir loger chez nous le jeudi 5 septembre 2019 en fin de journée. Vassilis est arrivé chez nous avec son vélo. Ce fut une grande joie de le revoir et d’échanger ensemble autour d’un bon dîner.

Dès le lendemain matin, nous étions ensemble à pied d’œuvre pour les vendanges. Lorsqu’il vendangeait en Bourgogne, Vassilis s’occupait du transport des raisins récoltés dans un grand panier porté sur le dos, travail très physique et très fatigant. C’est la première fois qu’il récoltait le raisin à l’aide de ciseaux, agenouillé ou accroupi.

Vassilis a travaillé deux jours avec nous, vendangeant le matin et poursuivant son travail ordinaire de tous les jours en aidant les sœurs au potager durant les après-midis. Travailleur infatigable et joyeux, toujours prêt au bon mot, il a fait merveille en défrichant une parcelle importante du potager.

Il est reparti ensuite en vélo vers son lieu de vie, un coin de garrigue, où il loge sous tente avec un confort des plus réduits.

Notre ami Vassilis reprend la route en vélo
après deux journées de vendange à Solan.

 

Ces deux jours ont permis à Vassilis de mieux découvrir et apprécier le saint monastère de Solan.

Nous sommes rentrés chez nous avec de belles grappes de raisin en remerciement fraternel pour l’aide apportée durant les vendanges.

Après la récolte, la vinification

Au monastère, dans les caves, les fermentations constituent toujours un suspense et elles durèrent cette année près de deux mois. Au 14 novembre cependant tout était terminé.

L’étape des assemblages fut difficile car il fallait harmoniser des degrés élevés et des tanins importants. Néanmoins toutes les cuvées ont trouvé leur place : les premières mises en bouteilles devraient avoir lieu après Pâques 2020 et les vins de garde arriver comme il se doit les derniers en décembre 2020. Une exception : il n’y aura pas de Cuvée Sainte Sophie (un délicieux vin blanc effervescent) car le degré élevé des raisins des cépages vermentino et clairette ont amené les sœurs à tout réserver pour le « vin de paille ».

Si le cœur vous en dit et si Dieu le veut, n’hésitez pas à proposer votre aide aux prochaines vendanges.

Nous remercions Dieu de ces heures d’exception qu’Il nous a permis de vivre à Solan, peu de temps avant l’inoubliable consécration de l’église du saint monastère.

 

Article rédigé par Nicolas Van Cranenbroeck et achevé le 25/03/2020, en la fête de l’Annonciation à la Très Sainte Mère de Dieu, pour le bulletin périodique de la Paroisse Saint Alexandre Nevski et Saint Séraphin de Sarov (Liège) Nadejda/Espérance N° 38, mai-juin-juillet-août-septembre 2020.

[1] Voir l’article intitulé « Va-t-en de ton pays, de ta patrie et de la maison de ton père dans le pays que je te montrerai… » (Genèse 12, 1) publié dans Nadejda/Espérance N° 32, avril-septembre 2018, pp. 140-149 (français) et pp. 129-139 (russe) et l’article intitulé « Chronique de Saint-Maximin – Arrivée en terre promise » publié dans Nadejda/Espérance N° 36, septembre-décembre 2019, pp. 72-103 (français) et pp. 41-71 (russe)

[2] La barre des 45° C a été franchie pour la première fois, depuis que l’on fait des mesures de températures en France, le 28 juin 2019 : on a atteint les 45,9° C à Gallargues-le-Montueux, à l’ouest du Gard, à 16 h 20. 45,9° C, c’est la température que l’on atteint lors d’une journée d’août normale dans la Vallée de la Mort à Furnace Creek, en Californie (USA).

[3] Voir l’article intitulé « En pèlerinage à la Sainte Montagne (janvier 2013 » publié dans Nadejda/Espérance N° 33, octobre-décembre 2018, pp. 29-45 (français) et pp. 12-28 (russe).

[4] Voir l’article intitulé « Vassilis ou le miracle de la Dormition de la Très Sainte Mère de Dieu » publié dans Nadejda/Espérance N° 33, octobre-décembre 2018, pp. 112-118 (français) et pp. 104-111 (russe).

 

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *